lundi 24 septembre 2018

Voyage au pays de l’Adolescence

Climatologie et Sismologie


En adolescence vous aurez affaire à la saison des pluies ce sont des orages et... de fortes averses  qui peuvent s'abattre sur l'ensemble du pays. Ces pluies, sont comparables à une fragilité dues à des émotions difficilements maîtrisables. 
Méfiez-vous des tremblements de terre ! Ils sont la rencontre de différentes plaques tectoniques, notamment celle de l'Adulte et de l'Enfance pays frontaliers de celui de l'Adolescence.
Parfois ces tremblement de terre provoquent des failles. Ces failles paraissent sans fond, remplies d'une tristesse insoupçonnable et pourtant si on regarde bien on s'aperçoit que la vie est toute proche...Dans le coin de cette fissure interne une fleur pousse ! Il lui faut juste du soleil pour qu'elle s'épanouisse.
Ces failles alors qu'elles peuvent être massives et rebutantes n'en sont pas moins que les premières lueurs enfouies du chemin vers la Liberté. 
Difficile à croire ?! Ne vous fiez pas aux apparences.
En effet, le pays bouge sans cesse et il n'a de cesse de se construire en déconstruisant ce que le pays de l'Adulte considère comme acquis. Pour se développer il est nécessaire de vouloir s'affranchir de la domination de l'Adulte en ne se considérant plus comme un Enfant.
Cela passe par tout balayer d'un revers de la main ce que l'Adulte peut mettre en place.
Toutefois, et dans le même mouvement paradoxal l'Adolescence gardera un pied en Enfance...Ce qui laissera le pays de l'Adulte sans voix...
Difficile à comprendre pour le pays de l'Adulte qui use, abuse tantôt de diplomatie, tantôt de colère, d'humour...De stratagèmes...
Ces ainsi que dans des périodes d'apaisements et suite à tous ces bouleversements le  pays peut se re-découvrir différemment.
Alors l'été verra le soleil poindre des moments de complicités d'une intense douceur.

Jérémy 




vendredi 21 septembre 2018

Voyage au pays de l'Adolescence...(Prélude)


Un pays c'est une rencontre avec à une langue différente, une terre parfois aride, un décalage horaire
qui peut être important. C'est aussi une rencontre avec une culture, des habitudes, des paysages...
Ce pays dont je souhaite vous parler c'est l'Adolescence et sa capitale c'est la Liberté. Cette capitale aux milles couleurs est unique à travers les âges. En effet, quand on voyage en Enfance, la capitale c'est  la Découverte, chez les adultes la capitale c'est Uniformisation, dans le pays des personnes âgées il s'agit sans doute de la... Difficile à dire je ne l'ai pas encore visité.

Mais avant de vous parler de la Liberté, il faut graviter, crapahuter, s'accrocher à son sac à dos et surtout y croire. En effet, dans ce pays on y évolue au grès des Émotions, des Etats dr-âmes et des Transformations.

Bienvenue en Adolescence !!

Jérémy


lundi 17 septembre 2018

Espace full...

La foule me coule dans cette houle infernale...
Une boule, soul me serre le pouls !
Trop, trop...tout partout, tout partout, lui, elle, eux...
Différents mais trop d'un coup...Espace plein...Trop plein, rouge...Un pull pour refuge...
Passe juste,passe...

Puis espace vide, fluide...Subtile...
L'horizon en perte, un coeur qui bat au rythme d'une rivière qui coule...ivre, libre...
Alors sensation de la peau et le repos de l'âme, qui réclame le calme éternel dans une clameur d'humeur. 
Puis la rumeur meurt face à la peur de cet espace full... 

Jérémy 

mercredi 12 septembre 2018

Une porte...

Ce n'est rien une porte...
Une poignée, une serrure, un seuil...Tout un symbole.
Une porte passer c'est peut être l'ouverture d'un possible autrement, d'un ailleurs meilleur, d'un vertige et ce n'est pas Alice qui dira le contraire...
Au pays des merveilles tout à chacun souhaite y mettre un pieds.
Seulement, il faut une clef pour ouvrir cette porte et du courage pour passer le seuil.
Une clef qu'on a pas toujours, qu'on égard parfois, qu'on perd...Une clef qui grince.
Alors on tâtonne, on n'ose pas... On reviendra ou pas...peut être...
Sur que si la porte est fermée peu de chance qu'on y revienne, surtout quand la porte on l'a prise à mainte reprise dans la gueule...
Alors permettre des portes ouvertes pour des personnes a qui on a claqué la porte au nez parce que pas tout à fait comme il fallait...
Faciliter le passage du seuil...Pourquoi pas ?!
Sans doute que les psy y verront tout un symbole psychanalytique dans une approche basique symbolisé par un divan...
La nécessite de passer la porte par soi même pour avoir accès à...soi même...Pas évident !!
Cette porte prend l'aspect d'une demande...Avoir une demande...Mot de passe pour un accès... mais pas trop établie cette demande... Ne pas avoir de demande alors le cadenas se bloque net.
Les portes, sont présentes dans les prisons, dans les orphelinats, dans les couvents, dans les services psychiatriques...
Permettre que ce qui sont dedans ne s'echappent pas et permettre à ce qui sont dehors de ne pas voir...
Sans doute !  alors permettons dans nos services que les portes restent ouvertes Freud n'aura qu'a attendre.

Jérémy








mercredi 5 septembre 2018

Les apparences !


Trop peu de gens prennent le temps d'un autre regard.

Pourtant peu à peu le voile se lève au-delà des apparences.
Les apparences sont parfois les appâts-rances d'âmes en errances. 
Les apparences sont pompeuses, trompeuses, c'est entre les lignes que le fil commence à se tisser.
Les apparences, pansent les cicatrices : témoins d'une réalité tout autre...Message crypté comme un cri, apparemment impossible à décrypter, à mater. Pourtant autour d'un maté, d'autres choses se passent...L'apparence danse avec les préjugés, sans fondement, elle juge le fond et s'attache aux évidences, pourtant d'évidence rien n'est joué si tant est que l'évitement n'ait pas lieu.
L'apparence, en partance vers ailleurs, donne lieu et place à...Pas sur que l'antonyme se définisse d'un mot...
Mais dans une valse à mille temps, l'apparence se tend, se distant, persistante par instant elle peut devenir provocante...
Et puis peu à peu...
Face d'une même pièce, c'est l'essence de l'être qui se défini. Parfum d'existence, ça y est, ça y est pas à pas... pas de doute... du bout du doigt le pas est franchi.
A priori insignifiant, comme un levé de soleil de printemps permettant les premiers bourgeons...
C'est bien l'être vibrant, demeurant, exaltant... qui comme une fissure dans l'âme se découvre.
Et puis et puis dans un parfum de confiance, comme un levé de soleil tout peu commencer...

Jérémy



lundi 3 septembre 2018

Vagabondant dans la vie.


Une clope au bec, sac sur le dos...
Comme un air de liberté dans un souffle de révolte.
De train en train, d'escale en escale, juste un bouquin comme fil conducteur vers un ailleurs meilleurs...
Loin des turpitudes et des standards établies, le nécessaire et
les rencontres feront le reste.
Quelques relents vestimentaires comme vestige d'un temps passé mais oublié.
Les étoiles comme cap à suivre, une route semée d'incertitude métaphore d'une vie à vivre de bout en bout.
La promesse de l'aube, un feu ardent à l’intérieur du cœur et puis et puis la Liberté...
Et puis, et puis l'instant juste l'instant, juste le temps de prendre le temps d'un instant.
Les effluves des fleurs, la beauté du paysage...Juste un instant

Jérémy